Plus de un an s’est écoulé depuis l’occupation de Arbonne qui avait fait ressortir les limites de la préemption partielle. Depuis, en 2022 11 ha de cette propriété ont été vendues en nue-propriété (qui sépare l’usufruit vendu plus tard). La vente n’étant pas en “pleine propriété “cela empêche la SAFER d’exercer son droit de préemption et par la même son…
